Evènement parallèle du Réseau des femmes de l’APF à la Commission de la condition de la femme des Nations Unies

Aujourd’hui, des pays interdisent encore ou restreignent l’accès aux services de santé sexuelle et reproductive, soit par la loi, soit en ne mettant pas en place les moyens suffisants pour que ces services soient efficaces et efficients. Des pressions et des menaces s’exercent sur les femmes, sur les professionnel.le.s de santé, mais aussi sur des personnes ou des couples en raison de leur genre ou de leur orientation sexuelle. Cela engendre de fortes inégalités d’accès aux droits et aux services et des discriminations entre les personnes.

Concertation de Haut Niveau Réseau francophone pour l’égalité femme-homme avec de la Société Civile Francophone

Fidèle à sa mission de «donner corps à une solidarité active entre les 88 États et gouvernements qui la composent», l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) a fait de la lutte pour l’égalité femme-homme une de ses priorités avec l’adoption de la stratégie EFH de l’OIF à Erevan lors du XVII Sommet de la Francophonie.
C’est le même engagement qui motive le Réseau Francophone pour l’Egalité Femme-Homme (RF-EFH) dont la raison d’être, selon sa charte est d’ « œuvrer pour le développement de l’Espace Communautaire Francophone en participant de façon active, effective et décisive à l’inclusion de l’égalité Femme Homme dans les politiques de développement».

63 EME CSW 11 -22 Mars 2019 PAPIER DE POSITIONNEMENT DU RF-EFH

LES SYSTEMES DE PROTECTION SOCIALE, L’ACCES AUX SERVICES PUBLICS ET LES INFRASTRUCTURES DURABLES AU SERVICE DE L’EGALITE DES SEXES ET DE L’AUTONOMISATION DES FEMMES ET DES FILLES. La question de l’Egalite FEMME /HOMME : quelles valeurs ajoutées ? La stratégie sur l’Egalite femme /homme de la Francophonie Dans l’espace francophone, Les femmes ont toujours … Continuer…

DECLARATION DE LA XIe CONFERENCE DES OING 14 septembre 2018

déclaration de la société civile francophone a été portée par la Secrétaire générale de la Francophonie au Sommet d’Erevan à l’attention des Chefs d’État et gouvernement.
Ce texte a été adopté par la XIe Conférence des OING et des ONG, réunie du 12 au 14 septembre dernier à Erevan.

XIème Conférence des OING de la Francophonie Erevan (Arménie), 12-14 septembre 2018

La XIème Conférence des Organisations internationales non gouvernementales (OING) de la Francophonie se tiendra à Erevan, en Arménie, du 12 au 14 septembre 2018. Cette Conférence réunira les 127 OING et ONG accréditées, les réseaux de la société civile partenaires de l’OIF et des représentants de la société civile arménienne. Cet espace de rassemblement et de mise en commun des points de vue de l’ensemble des composantes de la société civile francophone au thème du Sommet constitue l’opportunité pour la Francophonie de communiquer sur l’adoption d’une nouvelle Stratégie pour la promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes, les droits et l’autonomisation des femmes au Sommet d’Erevan en octobre 2018, ainsi que sur le travail mené par le Réseau francophone pour l’égalité femme-homme sur l’état des lois et des textes dans le domaine au sein de l’espace francophone.

Colloque « Sensibilisation des Etats et information des populations sur l’importance de l’état civil »

Le colloque était l’occasion du lancement officiel de la plateforme www.etatcivil.pw; co-financée par
l’Organisation internationale de la Francophonie. Cet événement coïncidait avec le 20ième anniversaire de
« Regard de femmes », ONG militante en faveur des droits des femmes et qui pose un regard exigeant sur le
monde et sur les droits émancipateurs pour la dignité humaine.

Visite Mme Julie MIVILLE DECHENE Emissaire aux Droits et liberté de la Personne

Le Gouvernement du Sénégal, l’Organisation internationale pour la Francophonie (OIF), le  Réseau Francophonie pour l’égalité Femme – Homme (RF-EFH), l’Institut Francophone pour l’Education et la Formation (IFEF), le Bureau du Québec au Sénégal ont organisé un panel sur le droit à l'état civil des enfants, et les droits des femmes et des jeunes filles, en milieu rural.

renforcement de l’égalité hommes-femmes

Les Femmes, l’Entreprise et le Droit,

Lever les obstacles au renforcement de l’égalité hommes-femmes

Les lois qui établissent des distinctions entre les sexes sont-elles courantes ?

Le rapport Les Femmes, l’Entreprise et le Droit évalue les restrictions pesant sur l’emploi et l’entrepreneuriat des femmes et sur les incitations au travail des femmes dans 143 pays. La base de données recense 21 différences juridiques entre hommes et femmes applicables aux femmes célibataires et 26 concernant les femmes mariées qui limitent leurs perspectives économiques, soit un total de 47 dispositions sur cinq indicateurs (encadré 2.1). Sur les 143 pays couverts par le rapport, 128 établissent au moins une distinction entre femmes et hommes d’après cette seule mesure (figure 2.1). Les 28 pays en comptant plus de 10 se situent dans les régions Moyen-Orient et Afrique du Nord (14 pays), Afrique subsaharienne (11), Asie de l’Est Pacifique (2) et Asie du Sud (1). Les 15 pays où il n’existe pas de différence en droit entre femmes et hommes dans les domaines évalués sont l’Afrique du Sud, l’Arménie, le Canada, l’Espagne, l’Estonie, la Hongrie, le Kosovo, le Mexique, la Namibie, la Nouvelle-Zélande, les Pays-Bas, le Pérou, Porto Rico (États-Unis), la République dominicaine et la République slovaque.

Differece juridique

Les mesures d’ordre juridique visant à encourager les femmes à travailler sont-elles répandues ?

Les pouvoirs publics instaurent également des mesures qui encouragent les femmes à travailler et leur facilitent cette dé- marche. Ces mesures peuvent aller de la non-discrimination à l’embauche à des quotas visant à favoriser la participation des femmes à la vie économique en passant par des régimes de congé de maternité et de paternité. Le rapport examine 12 dispositions de cette nature (encadré 2.2). Dix d’entre elles sont directement associées à la promotion de l’emploi des femmes — quotas, prestations liées aux congés.

Ces incitations constituent une première liste de mesures gouvernementales susceptibles d’encourager la participation des femmes à la vie économique, mais pas un catalogue complet des politiques visant à développer leurs perspectives économiques. Lorsque l’on met en rapport les mesures incitant les femmes à travailler et les dispositions juridiques concernant leurs perspectives économiques recensées dans le rapport, on constate que les incitations sont plus rares dans les pays où les différences juridiques entre hommes et femmes sont les plus nombreuses (figure 2.2). L’Espagne, la Hongrie et la République slovaque n’établissent aucune distinction sur le plan juridique et offrent au moins six mesures incitatives. L’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Oman et la République du Yémen établissent plus de vingt distinctions, et offrent moins de deux incitations.

Tableau

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