Nous avons pu constater que les femmes et les hommes ont un vécu différent quant au processus électoral et que la manière dont les élections sont menées sur le plan légal ou administratif peut avoir des effets sur la pleine participation des femmes et éventuellement sur le caractère égalitaire d’une démocratie.
Les réflexions entamées visaient à s’approprier ces processus et voir les étapes du cycle électoral qui peuvent être réfléchies pour consciemment prévenir des inégalités, les corriger, voir les éradiquer.
Les femmes, plus que jamais, sont l’avant- garde, du développement de nos pays. En espérant que la mise en œuvre de la loi sur la parité soit effective, les femmes ont un point commun : elles doivent collaborer et se soutenir. Il est clair que les sexo-spécificités, de tous ordres, sont à prendre en compte, pour arriver à atteindre les objectifs d’équité et d’égalité, et seules les discussions, les dialogues, les négociations, etc. permettront de lever toutes les appréhensions.
Les jeunes (garçons et filles) aussi doivent être plus impliqué(e)s dans la sphère politique.