Manifestation unique en son genre en Afrique, le Forum de Bamako est un espace de réflexion de haut niveau sur l’avenir du continent. En une décennie, il a réussi à rassembler de nombreuses personnalités et organisations venues de tous les horizons.
Initiative africaine originale, le Forum est un colloque annuel et international, hors des cadres conventionnels et institutionnels. Il conjugue liberté de parole, convivialité et haut niveau de débats.
Axé sur les enjeux du développement de l’Afrique, c’est un lieu et un temps d’échange d’idées et de dialogue où se rencontrent chefs d’entreprise, hommes et femmes politiques, décideurs publics, universitaires, experts, représentants de la société civile et des médias, du continent africain et des autres continents.
Le Forum de Bamako a pour objectif de favoriser le métissage de connaissances et le partage des savoirs dans une approche participative.
Accompagné et soutenu par de nombreux partenaires publics et privés, le Forum de Bamako publie à chacune de ses éditions un mémorandum remis au Président de la République du Mali. Ce document, ainsi que les contributions produites dans le cadre du Forum, sont des outils d’analyse, de réflexion et de proposition destinés aux décideurs et organisations impliqués dans les questions de développement en Afrique.
Depuis plusieurs années, le Forum de Bamako suscite une forte mobilisation des grands médias internationaux, notamment par l’organisation à chaque édition d’émissions de radio et de rendez- vous télévisés avec le concours notamment de Radio France Internationale (RFI), l’Office de Radiotélévision du Mali (ORTM), Canal France International (CFI) et AFRICABLE.
Créé et organisé par M. Abdoullah Coulibaly, président fondateur de l’Institut des Hautes Études en Management (IHEM), dans l’esprit d’une formation exigeante et d’une promotion des élites africaines, le Forum, depuis 2008, est pris en charge par la Fondation Forum de Bamako, présidée aujourd’hui par lui-même avec l’ambition de donner une assise stable et permanente au « petit Davos de l’Afrique ».